Voici les Hives, photos provenant de leur site officiel, sans doute un des meilleurs groupes de scène actuellement...
T.H.E.H.I.V.E.S. à part ça je me demande comment on peut aimer ça... Juste plat... Ben ouais qu'est-ce qui m'oblige à faire une review sur un album produit par Pharell et Timbaland, alors que là je suis en train d'écouter pour une énième fois Neon Bible d'Arcade Fire, hein?
The Hives, de toute façon, c'est pas écoutable sur un album entier, moi j'm'emmerde. 3-4 morceaux, pis après tu passes à autre chose. Bon le live, c'est différent, tu te fais détruire sur la barrière, ça bouge, ça s'arrête, bref, c'est un peu téléphoné comme truc, mais c'est une putain de machine de live.
Les Hives ont eu le mérite de tenter une approche novatrice pour un obscure (n'ayons pas peur des mots) groupe indé actuel et maniant le garage en numérique avec autant de dextérité qu'un Jack White dans le digital.
Mais sérieux, comment ne pas se tourner les pouces sur "A Stroll Through Hive Manor Corridors", interlude à six pieds sous terre à côtés des géniaux Horrors. Bon il semble quand même y avoir des restes Hives - "Square One Here I Come"- bien que le son s'oriente plus du côté Jet qu'autre chose. Bon pour toucher le grand public...
"It Won't Be Long", ou comment Holwin' Pelle Holmquist (un truc comme ça) passe pour un affreux jojo tout droit sorti de MTV. A propos d'Arcade Fire, on entend Win Butler chanter doucement en entendant ceci: “MTV, What Have You Done To Me? Save My Soul, Set Me Free!". "Puppet On A String" n'arrange en rien les choses. Voici les Hives, chantres du progrès du rock indé, apportant autant que les Black Eyed Peas au R&B-hip-hop-dancehall...
Allez y en a bien quelques une à sauver, heureusement, mais le problème c'est que je n'arrive vraiment pas à terminer ce fichu album. Aurélien peut-être que tu feras une review sur le quart du bon album de... The Black and White Album, moi je retourne à des choses plus lyriques.
Wuahmeeeee!